ANGIE
"Angie" Oh, Angie, Oh, Angie, when will those dark clouds disappear Angie, Angie, quand ces nuages noirs disparaitront-ils ?
Angie, Angie, where will it lead us from here
With no loving in our souls and no money in our coats
You can't say we're satisfied
But Angie, Angie, you can't say we never tried
Angie, you're beautiful, but ain't it time we said goodbye
Angie, I still love you, remember all those nights we cried
All the dreams we held so close seemed to all go up in smoke
Let me whisper in your ear
Angie, Angie, where will it lead us from here
Oh, Angie, don't you weep, all your kisses still taste sweet
I hate that sadness in your eyes
But Angie, Angie, ain't it time we said goodbye
With no loving in our souls and no money in our coats
You can't say we're satisfied
But angie, I still love you baby, everywhere I look I see your eyes
There ain't a woman that comes close to you, come on baby, dry your eyes
But Angie, Angie ain't it good to be alive
Angie, Angie; they can't say we never tried
Angie, Angie, où cela va-t-il nous emmener ?
Sans amour dans nos âmes et sans argent dans nos vestes.
Tu ne peux pas dire que nous sommes satisfaits.
Mais Angie, Angie, tu ne peux pas dire que nous n'avons jamais essayé
Angie, tu es belle, mais n'est-il pas temps de se dire adieu ?
Angie, je t'aime encore, rapelle-toi toutes ces nuits où nous avons pleuré
Tous ces rêves que nous tenions si près semblent être tous partis en fumée.
Laisse-moi murmurer à ton oreille :
Angie, Angie, où cela va-t-il nous emmener ?
Oh, Angie, ne pleures-tu pas, tes baisers me paraissent toujours aussi doux.
Je déteste cette tristesse dans tes yeux.
Mais Angie, Angie, n'est-il pas temps de se dire adieu ?
Sans amour dans nos âmes et sans argent dans nos vestes,
Tu ne peux pas dire que nous soyions satisfaits.
Mais Angie, je t'aime toujours chérie,
Partout où je regarde je vois tes yeux.
Il n'y a aucune femme qui se rapproche de toi,
Viens trésor, essuies tes yeux !
Mais Angie, Angie, n'est-il pas bon de vivre ?
Angie, Angie, ils ne peuvent pas dire que l'on n'a jamais essayé.
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angie
ANGIE
Que dire de cette chanson, situez vous la scène en pleine rue, durant un hiver. Dans cette hiver, une fille portant un manteau, et un homme dans une voiture. Il est assis à l'arrière, sur des coussins gris. Elle marche seule, sans se retourner, essayant d'oublier son passé. Elle voudrait laisser couler des larmes de nostalgie et de tristesse... Pourtant, ce n'est le temps de dire adieu, puisque rien n'a commencé.
Alors nous lui dirons, qu'elle est toujours belle, qu'elle mérite une si belle vie, celle dont on parle dans le langage romanesque, celle dont chacun rêve sans le dire tout haut. Dans le froid de cet hiver, un hiver de Décembre, la semaine entre noël et la St Silvestre. Elle serait là... Et on l'aimerait tout bas.
un fou
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***
*
Je ne suis qu'un fou
quelqu'un qui a peur
que tu disparaisses au loin
me laissant pendant des heures
dans les larmes et le chagrin
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*
Elle tremblait et nul ne le savait
Elle tremblait et nul ne le savait
Elle n'était pourtant pas seule sur cette terre. Assise à un arrêt de bus, ses cheveux au vent dessinaient des courbes. On ne la regardait pas, pourtant lorsqu'un regard se posait sur elle, il fuyait sans savoir. Sans comprendre... Elle portait un gilet, avec un T-shirt portant l'imprimé KAWAI de l'année 2002. Elle regardait le sol puis sa montre. Soudain en sortant son MP3, elle démêla les fils de ses écouteurs. Le bus arriva, elle se leva et y rentra. Dans le bus, les autres parlaient, des petits groupes étaient formés, des petits groupes. Elle déposa son coude sur le rebord d'une poignet, et lentement ses yeux se fermèrent et s'entrouvrent. Disant d'une voix douce, réveillez moi une fois arrivé.
Elle ne portait pas toute la beauté du monde en elle, mais qu'est ce que la beauté ? Une idée ? Qu'est-ce qu'une idée ?
Quelle que choses de non concret... Si le temps s'était figé à ce moment précis, nul ne s'en serait aperçut, car son calme nous submergeait et ravivait l'espoir.
Sortant du bus, calmement, elle s'éloigna de moi, me laissant les cicatrices de ce calme.
pensés sombre
Pensées sombres
Julien V
Intro
Je ne pouvais appeler autrement, ce nouveau recueil de pensées, assez sombres. Je sais seulement que cela va encore provoquer des longues réflexions, aboutissant à l'idée unanime que je suis mélancolique !!!
Et non, j'avoue ici même que je ne suis qu'un pauvre nostalgique, nostalgique du Romantisme de Baudelaire, nostalgique de Murnau, de Hitchcock, de Daniel Balavoine, de tous ces artistes, ces personnages qui m'ont fait vibrer jusqu'au plus profond de mes tripes.
Voilà, c'est dit, je ne souhaite seulement que vous passiez un bon moment en ma présence.
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vivre comme avant
VIVRE COMME AVANT
JULIEN VACHON
Quand le temps est venu, d'avouer ses ressentiments
Que tout ne sera jamais plus, autant important
Aussi simple qu'au tout début, a présent...
Je veux pouvoir vivre comme avant
Te parler tout simplement
Dire mes joies et peine
Dans craindre la haine
Quand tes souvenirs se tournent dans l'univers
D'un autre temps ou bien dans mon repère
Je sens que tu ne seras, jamais
Comme ce que j'espérais
Je veux pourvoir tout dire
Sans craindre le pire
Savoir ce qui me ferait souffrir
Afin d'effacer à jamais
Ce que je craignais
Je veux pouvoir vivre comme avant
Te parler tout simplement
Dire mes joies et peine
Dans craindre la haine
Viens rejoindre l'éphémère de l'éternité
Viens rejoindre l'éphémère de l'éternité
Julien VA
Au soleil qui me sourit, lorsque l'on sait
Que Dieu ou les anges nous on violé
Comme un homme tourne les pages d'un livre
Pourtant eux ils savent rire, devenir ivre
Viens rejoindre dans l'éternité d'un instant
Le goût et la joie d'un instant à tout jamais
Rejoindre l'éphémère de l'éternité
Sentir monté les sens, dans un son de violon
Découvrir un autre jour, rien qu'un jour
Vivre dans les nuits d'apollon
Haine et amour ...